Mis en ligne : 25 septembre
Nicolas Sarkozy s’est exprimé aujourd’hui dans un meeting à Toulon, au sujet de la crise financière.
Le Président de la République a tenté de démontrer que le monde est divisé en deux catégories : d’un coté les méchants capitalistes spéculateurs et de l’autre les gentils capitalistes entrepreneur. Qui espère-t-il tromper ? La recherche du profit, son accumulation et la spéculation fondent le capitalisme. L’histoire contée par Nicolas Sarkozy, devant un parterre de groupies UMP, relève de la fiction.
Selon ses propre mots, « le monde change, il faut qu’on change », mais lui, ne change rien. Pire, il accelère encore. Nicolas Sarkozy est un chauffard. Ses victimes sont toujours les même : la fonction publique qu’il veut réduire de 30.600 emplois, et toutes les conséquences dramatiques que cela entrainera pour les français.
Loin de les protéger, Nicolas Sarkozy fait aux français la promesse du pire. Le pire pour les salaires, le pire pour la croissance, et au final, le pire pour l’ensemble des français.
Parti communiste français
Paris, le 25 septembre 2008.
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